base-aerienne-une.jpg - CC Val Essonne

Base aérienne 217

La Base aérienne 217, dite de Brétigny est installée sur quatre communes : Brétigny sur Orge, Leudeville, Plessis-Pâté, et Vert-Le-Grand, elles-mêmes associées à deux établissements publics de coopération intercommunale : la Communauté d’agglomération du Val d’Orge (Brétigny sur Orge et Plessis-Pâté) et la Communauté de Communes du Val d’Essonne (Leudeville et Vert-Le-Grand).

Base aérienne 217 - Perimetre

Elle occupe aujourd’hui une emprise de 750 hectares. Elle trouve l’origine de son implantation dans un premier aérodrome situé sur la commune de Brétigny sur Orge en 1938, qui a évolué en Centre d’Essais en Vol à la fin de la seconde guerre mondiale. L’activité de centre d’essais en vol a été cependant transférée en 2004 (pour ISTRES) et le centre a été fermé en 2009. La base aérienne 217 a été fermée à l’été 2012

L’Etat a mis en place un dispositif d’accompagnement des territoires touchés par la fermeture des sites, la réduction de leurs effectifs ou le redéploiement de ceux-ci et un Contrat de redynamisation du site de défense de la base aérienne de Brétigny-sur-Orge (CRSD) a été signé, le 15 mars 2012 par l’Etat, les collectivités locales et l’ensemble des acteurs intentionnels attachés à ces projets, soit au total douze partenaires. Il décline les actions et les financements pour la reconversion du site de la Base Aérienne 217.

Base aérienne 217 - Base Aerienne

Ainsi sur les 750 hectares de l’emprise actuelle de la base aérienne 217, plus de 300 hectares vont être cédés à l’euro symbolique aux collectivités territoriales. Le reste du foncier est, soit conservé par le Ministère de la Défense pour se développer avec le renforcement du pôle de recherche de l’Institut de Recherche Biomédical des Armées (IRBA) et du Physiopole de l'Institut National de Recherche Agronomique (INRA) afin de valoriser la recherche et de développer l’attractivité économique.

Sur le Val d’Essonne, le maintien des activités de l’INRA a été une priorité et le site des anciennes casernes situées à proximité sera dédié au développement d’un projet à vocation économique.

La place de l’agriculture reste également primordiale avec 90 ha qui permettront de réaliser avec le Val d’Orge un projet de lotissement d’agriculture biologique.